Detaillierte Beitrags-Information

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Beitragstitel Traitement pharmacologique de l’état de stress post-traumatique chez l’adulte : revue de la littérature
Beitragscode P05
Autoren
  1. Christos Papachristou Service de Psychiatrie Adulte, Hôpitaux Universitaires de Genève Vortragender
  2. Rachel Vaz madera HUG Genève
  3. Rachel Baeriswyl Departement de Sante Mentale et Psychiatrie Hopitaux Universitaires de Genève (HUG)
  4. Ruxandra-Daniela Topa Departement de Sante Mentale et Psychiatrie Hopitaux Universitaires de Genève (HUG)
  5. Natacha Premand Departement de Sante Mentale et Psychiatrie Hopitaux Universitaires de Genève (HUG)
  6. Javier Bartolomei Departement de Sante Mentale et Psychiatrie Hopitaux Universitaires de Genève (HUG)
Präsentationsform Poster
Themengebiete
  • 07 - Pharmakotherapie
Abstract Introduction: L'état de stress post-traumatique (ESPT) est un trouble qui se caractérise par des symptômes intrusifs, d’évitement, hypervigilance ainsi que des émotions négatives. Cette symptomatologie persiste au-delà d’un mois et impacte significativement le fonctionnement de la personne. Le traitement est pharmacologique et/ou psychothérapeutique. Nous avons étudié le versant pharmacologique dans le but de mettre en évidence les molécules ayant montré leur efficacité. Méthode: Nous avons réalisé une revue narrative de la littérature concernant le traitement pharmacologique de l’ESPT chez l’adulte en utilisant les moteurs de recherche Pubmed et Google Scholar ainsi que le site UpToDate. Résultats: Les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (sertraline, paroxétine) et la venlafaxine sont considérés comme traitement de 1ère intention. Malgré le peu de données, la durée du traitement recommandée est de minimum 6-12 mois. Le niveau de preuve de l’utilisation des antipsychotiques dans cette indication est actuellement faible. Des résultats mixtes ont été retrouvés concernant l’efficacité de l’alpha-bloquant prazosine. Selon les données actuelles, la prescription des benzodiazépines devrait rester exceptionnelle. Conclusions: Les études montrent une faible différence significative entre l’efficacité de la pharmacothérapie et le placebo pour l’ESPT. D’autres approches telles que la psychothérapie doivent aussi être considérées dans la prise en charge de ce trouble.